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GÉNÉRALITÉS

Avant d’entreprendre un traitement, l’ostéopathe interroge ses patients sur leurs antécédents médicaux, chirurgicaux, leur naissance, la description de leurs événements traumatiques, leur traitement en cours.

 

Nous savons que les traumatismes physiques et/ou émotionnels perturbent la mobilité tissulaire et altèrent le fonctionnement du corps à plus ou moins long terme.

 

Il est donc nécessaire d’apporter au patient une correction spécifique pour permettre  à son corps d’améliorer son autorégulation. 
 

Le corps étant une unité, l’ostéopathe a la chance de pouvoir travailler dans la globalité. Sur le système crânien, l’approche ostéopathique se fait à plusieurs  niveaux : osseux - membraneux - du système nerveux central - liquide céphalo-rachidien.

 

En ce qui concerne le système périphérique, l’approche ostéopathique est toujours globale et en même temps très spécifique sur les systèmes membraneux - musculaire - viscéral - vertébral - fluidique et émotionnel.

 

Les soins sont adaptés à chaque patient, ils sont doux, et tiennent compte de l’état de santé  de chacun (fatigue, intensité des douleurs).


Les patients perçoivent souvent une relaxation profonde en fin de soin ou alors, plus rarement, ils ne perçoivent rien du tout. Après le soin et pendant 3 ou 4 jours, des réactions de fatigue ou de douleur plus ou moins intenses peuvent se faire sentir, ou bien rien du tout.

 

Quoiqu’il en soit, ces réactions s’atténuent, le temps passant.

Rien d’inquiétant à ce sujet. 

Ostéopathie-Endométriose-Troubles de la fertilité 

Ma formation m’amène à recevoir quotidiennement des femmes atteintes d’endométriose et cela, depuis des années.

 

Cette maladie touche parfois les adolescentes, et empoisonne la vie des  femmes jusqu’au début de la ménopause. A ce moment-là, les symptômes s’atténuent progressivement, même si un suivi ostéopathique d’une à deux séances  par an est conseillé. 
 

Cette maladie chronique inflammatoire ne rend pas systématiquement la femme infertile, même si de nombreux couples ont du mal à procréer. Cette année, en 2021, beaucoup de mes patientes ont accouché, avec une grossesse qui s’est déroulée sans véritable problème.

 

L’âge, la baisse de réserve ovarienne influencent cette procréation, ainsi que les  perturbateurs endocriniens comme les phtalates (pesticides, peintures, textiles…).

 

L’alimentation joue un rôle important sur l’état inflammatoire. Des conseils en  nutrition sont les bienvenus. 

Symptômes amenant une patiente atteinte d’endométriose à consulter en ostéopathie :

 

  • Tout symptôme anormal rythmé par les règles

  • Douleur d’épaule, notamment à droite, lors des règles

  • Dysménorrhée ; règles douloureuses, ce qui n’est absolument pas normal

  • Douleurs pelviennes chroniques : 

    • Lombalgie 

    • Sciatalgie 

  • Douleur récurrente face intérieure genou due à une tension du nerf génito-fémoral

  • Sensation de « lourdeurs », de « douleurs » du bas du ventre dues à la  congestion de la sphère pelvienne, et à l’état inflammatoire accompagné  d’adhérences

  • Dyspareunie : douleur liée aux rapports sexuels 

  • Douleurs à l’ovulation 

  • Maux de tête – nausées-vomissements-malaise-cervicalgie-dorsalgie

  • Crampes utérines 

  • Alternance constipation/diarrhée 

  • Sang dans les urines

  • Douleurs au moment d’aller uriner, à la défécation 

  • Douleur de récidive d’endométriose après acte chirurgical-adhérences des  cicatrices

  • Antécédents de chirurgie du ventre, congestion abdominale 
    Remarque : présence fréquente de scoliose. 

Quelques exemples de blocages corrigés par  l’ostéopathe et facilitant la procréation :
 

  • Malposition du bassin :

 

Sacrum - os iliaque - coccyx : de nombreux ligaments, notamment les LUS (ligaments-utéro-sacrés) sont sous tension, empêchant l’utérus de se mobiliser, et altérant ainsi la fonction de reproduction.

 

  • Restriction de mobilité vertébrale dorso-lombaire :

Par malposition et rigidité du rachis, atteinte des racines nerveuses provenant du plexus hypogastrique et ovarique, la contractilité de l’utérus ne sera plus assurée normalement, ni la circulation dans la sphère gynécologique, d’où l'apparition d'une zone de congestion.
 

Simplement, l’utérus, gêné par l’endométriose, réduit sa mobilité, et celle de tous les organes qui l’entourent ; de ce fait, et aussi parce que nous sommes en présence d’un état inflammatoire chronique, les organes ne glissent plus bien les uns contre les autres, et s’accolent progressivement, créant des adhérences, donc une congestion abdomino-pelvienne.
 

L’ostéopathe intervient pour décongestionner la sphère pelvienne, et ainsi facilite, par son approche globale, une grossesse.


En outre, il me semble utile de traiter globalement les patientes, à la fois avant un acte chirurgical, et également après cicatrisation.

 

  • Restriction de mobilité de la sphère crânienne : 

L’ostéopathe libère les tensions endocrâniennes (tensions situées dans l’os même), assouplit, centre, et détend les membranes intracrâniennes (faux du cervelet, faux du cerveau, tente du cervelet), corrige les spasmes endocrâniens (tensions du système nerveux central), active le liquide céphalo-rachidien pour obtenir une décongestion du système crânien.


La fréquence des scolioses induit des tensions supplémentaires au niveau crânien, que nous pouvons réduire par l’ostéopathie, et que nous surveillons régulièrement, puisque la scoliose ne se corrige pas adulte, mais crée des tensions régulières cérébrales, de la colonne, de certains organes.


L’objectif étant également de pouvoir agir et aider l’hypophyse à mieux fonctionner.

L’hypophyse étant le « chef d’orchestre » de la régulation hormonale.

 

  • Déséquilibre de l’axe endocrinien et nerveux :


Suite à des troubles émotionnels ou au stress, les équilibres endocrinien et nerveux se modifient, laissant place à une dysfonction hormonale. L’ostéopathe agit sur l’axe endocrinien par normalisation de l’hypophyse, de la thyroïde, du foie, de la rate, des surrénales, des ovaires.
 

L’ensemble du traitement ostéopathique facilitera la fertilité chez les femmes atteintes d’endométriose.

 

  • Congestion de la sphère gynécologique :

 

Les causes des tensions sont multiples :

 

- Effet de l’endométriose (adhérences, organes peu mobiles voire figés)

- Adhérences post-chirurgicales

- Accouchements

- Agressions responsables de peur


L’ostéopathe agit sur les douleurs de règles et réduit également les douleurs lors des rapports sexuels.

 

Pratiquement toutes les patientes peuvent le confirmer.

Quand consulter en ostéopathie en cas d’infertilité ?
 

Il convient de consulter pour un bilan médical de la fertilité, notamment après 35 ans,  même pour une femme plus jeune dont la durée d’infertilité dépasse plus d’une  année.

 

Le bilan médical, l’échographie permettent de savoir si la réserve ovarienne est  suffisante ; une recherche d’intolérance alimentaire peut vous être proposée. 


Un suivi ostéopathique est nécessaire, parallèlement aux soins médicaux.

 

Un premier rendez-vous en ostéopathie peut être pris à n’importe quel moment du cycle.

 

Pour les autres rendez-vous, ils seront prévus à un moment précis du cycle  menstruel en cas de : 


− Stimulation de l’ovulation 
− Diminution de la congestion pelvienne 

 

Comment se déroule un soin en ostéopathie gynécologique ?

Ce traitement sera adapté et spécifique à chaque patiente. Il sera expliqué, proposé, non imposé, et n’aura jamais lieu au premier rendez-vous. La patiente doit comprendre l’utilité du soin, en s’aidant de planches anatomiques si nécessaire.

 

Je tiens compte des réactions et des douleurs pendant les manipulations, qui doivent être douces et supportables pour la patiente, sinon le soin est interrompu, et repris la séance suivante. Je peux affirmer aujourd’hui après plusieurs années de pratique que les femmes ont pratiquement toutes leurs rapports sexuels facilités suite aux soins ostéopathiques gynécologiques. Certaines peuvent à nouveau avoir des rapports, d’autres s’aperçoivent que leurs rapports sont moins douloureux, voire indolore.

 

Le traitement ostéopathique gynécologique ne peut se faire qu’avec accord écrit de la patiente, ne dure que quelques minutes.

 

Les autres soins ostéopathiques sont toujours adaptés à chaque patiente.


Exclues des soins ostéopathiques gynécologiques : 


− Femmes vierges 

− Femmes ayant subi des traumatismes sexuels et refusant ce soin 

 

Ostéopathie et suivi de grossesse

Ce suivi permet : 
 

  • De réduire ou d’éviter les douleurs du bassin, du coccyx, de la symphyse pubienne

  • De réduire les rachialgies (douleurs du dos)

  • L’assouplissement de la colonne vertébrale, la décongestion du petit bassin, c’est-à-dire une amélioration de la circulation dans le bassin

  • De réduire les nausées, le reflux gastro-œsophagien

  • De réduire les maux de tête, les sinusites

  • De minimiser l’appréhension, les peurs de l’accouchement

  • A la patiente de se sentir détendue et rassurée


Contractions utérines et grossesse 

Les normalisations par l’ostéopathe du rachis et du bassin vont permettre une détente du système nerveux en lien avec l’utérus, ainsi qu’une meilleure circulation dans la sphère gynécologique. Pour ces raisons, les contractions utérines diminueront. L’ostéopathe restaure également les changements hormonaux lors de la grossesse, en agissant sur les  surrénales , la thyroïde et autres glandes.

Optimisation d’un accouchement par voie basse 

 

  • L’ostéopathe assure la vérification du positionnement du petit bassin (les os iliaques , le sacrum, le coccyx , les hanches), du rachis ainsi que la mobilité des zones traitées. Les tensions musculaires et émotionnelles sont également assouplies et débloquées, facilitant un accouchement physiologique : un meilleur engagement, rotation et expulsion possibles.

 

  • Si le bébé ne se présente pas en fin de grossesse en position céphalique, dos à gauche, l’ostéopathe va chercher les zones de blocages maternels pour faciliter l’accouchement.


Quand consulter ? 

 

A tout moment de la grossesse ; l’ostéopathe tiendra compte des antécédents de la patiente.

 

Pourquoi recevoir des soins ostéopathiques :  

  • Au premier trimestre : 
     

La crainte d’une fausse couche n’a pas de raison d’être suite à une intervention de l’ostéopathe, cette intervention optimise au contraire le bon déroulement de la grossesse.

 

Les soins ostéopathiques vont réduire les risques de contractions utérines et donc d’avortements spontanés. Par la libération des dysfonctions vertébrales et celles du petit bassin, l’assouplissement des adhérences, l’ostéopathe améliore la circulation de l’artère utérine et par voie de conséquence l’apport sanguin au fond de l’utérus, siège de l’insertion élective du placenta.

 

Pour ces raisons, l’ostéopathe a un rôle important à jouer, notamment pour les patientes qui ont déjà vécu un avortement spontané.

 

Bien entendu, le soin tient compte du dossier médical. 

 

  • Au deuxième trimestre :


La femme enceinte est moins craintive quant à une éventuelle fausse couche.

 

Fréquence de lombalgies et de sciatalgies que l’ostéopathe peut atténuer.

 

  • Au troisième trimestre :
     

Il s’agit de préparer la femme à l’accouchement en libérant les blocages articulaires lombaires, en assouplissant le bassin et en équilibrant les tensions des muscles : psoas, pyramidal, et ceux du périnée.

 

Ce traitement facilite au bébé son engagement lors de l’accouchement. 

 

• Comment s’effectuent ces soins ? 

Quelque que soit le soin ostéopathique, il sera toujours assuré dans la  globalité, en douceur sans appliquer de force ni de mouvement brusque, et  bien entendu indolore.

 

 

Ostéopathie et bébé, petit enfant

A mon cabinet

Pourquoi consulter un ostéopathe ?
 

Voici quelques motifs de consultation :
 

  • ​Un torticolis congénital ou une limitation de rotation de la tête :
     

Le bébé ne peut pas tourner la tête d’un côté, ou ne va pas des deux côtés avec la  même amplitude de rotation.

 

S’il tête plus facilement à un sein c’est parce qu’il a plus de facilité à placer sa tête de ce côté et que la mobilité des vertèbres cervicales est réduite du côté opposé ; de lui- même il ne tournera pas la tête dans la direction où il se sent gêné.

Ces tensions cervicales se mettent en place lors du mouvement de spirale qu’entreprend le bébé au moment de la naissance.


Il exécute des mouvements de rotation, et au moment de l’expulsion, il passe sous la symphyse pubienne de sa mère, ce qui engendre des contraintes sur ses vertèbres cervicales.

 

  • Une plagiocéphalie ou aplatissement d’une zone du crâne du nouveau-né :
     

Liée à des contraintes mécaniques sur les sutures du crâne du bébé.
 

L’ostéopathe traite avec précision les zones de compression ou de chevauchement des sutures afin de diminuer ces contraintes. Cela va détendre le système membraneux crânien nerveux et facilite la circulation cérébrale.


L’apparition de la plagiocéphalie se fait à la naissance, ou plus tard si le bébé laisse reposer sa tête du même côté (plagiocéphalie positionnelle).


Dans le cas de plagiocéphalie sévère , le port du casque s’avère être la meilleure solution pour remodeler le crâne du bébé. L’ostéopathe intervient le plus tôt possible.


Pour une craniosténose, très rare (fermeture prématurée des sutures de la voûte crânienne), le traitement est uniquement chirurgical.

 

Pour les prises en charge de plagiocéphalie, peuvent se coupler aux soins d’ostéopathie des séances de kinésithérapie et de psychomotricité.

 

  • Un canal lacrymal rétréci :
     

Les contraintes sur la face du bébé lors de l’accouchement peuvent créer des sécrétions purulentes, un larmoiement d’un œil.


L’ostéopathe aide à régler ce rétrécissement.

 

  • Allaitement :
     

L’ostéopathe intervient si le bébé a du mal à tourner la tête et donc du mal à téter en cas de torticolis.
 

Intervention également si problème de succion entraînant un ralentissement de « montée de lait ».

 

  • Positionnement « en virgule » du bébé, allongé sur le dos :
     

Je me suis aperçue qu’en prenant le temps d’observer un nouveau-né sur le dos lorsqu’il s’agite, il n’est pas rare de faire remarquer aux parents une position incurvée de la cage thoracique accompagnée très souvent d’une petite inclinaison du bassin, le bébé ne souffrant pas.


Habituellement, une seule séance est nécessaire pour corriger cette malposition.

 

  • Autres motifs de consultation pour les bébés-petits enfants :

    • ​Sommeil perturbé

    • Coliques

    • Reflux gastro-œsophagien ou régurgitation

    • Affection O.R.L (sinusite-otite)

    • Excitation-colère- énervement sans raison

    • Pleurs inexpliqués

    • Déviation de la colonne vertébrale

    • Déséquilibre postural

Quand consulter un ostéopathe ? 

 

Le plus rapidement possible après la naissance :

  • En cas de torticolis : afin d’éviter une plagiocéphalie positionnelle

  • Plagiocéphalie : dans les 3 premiers mois de la naissance, le plus tôt possible, pour améliorer le plus vite possible la forme du crâne.
     

Au-delà des 3 premiers mois, l’ostéopathe peut agir mais la correction sera plus fastidieuse :
 

  • Allaitement réactivé dès l’instant que le nouveau-né améliore sa succion suite aux soins de l’ostéopathe, là aussi, le plus tôt possible.

 

Comment s'effectue le soin ? 

 

Toujours dans la globalité, le soin est extrêmement doux, pratiqué avec patience, sans force, et complètement indolore. Une évaluation préalable de la tête aux pieds est nécessaire. Parfois le bébé pleure, la mère s’inquiète, les parents stressent.


L’ostéopathe explique que les pleurs du bébé ont plusieurs causes :

 

  • Soit il a envie que sa mère le prenne dans les bras

  • Soit il a faim

  • Soit la technique de soin utilisée lui est désagréable en lui remémorant les contraintes qu’il a vécues lors de sa naissance ou lors de sa vie intra-utérine

  • Soit des tensions à corriger le gênent

  • Soit il a sommeil

Les pleurs du bébé n’ont pas tous la même signification. Si vous trouvez votre bébé agité après les soins, il s’agit d’une réaction passagère qui ne donne pas lieu de s’inquiéter.
 

La plupart du temps le bébé est détendu s’il n’a pas faim, s’endort pendant et après le soin.
 

Si vous êtes vraiment inquiets n’hésitez pas à me recontacter.

 

Ostéopathie-Scolarité-Colonne vertébrale-Orthodontie

Pourquoi consulter un ostéopathe ? 

  • L’enfant est décrit à l’école comme ne tenant pas en place, rêveur

  • Manque de concentration

  • Dyslexie

  • Déviation de la colonne vertébrale : scoliose (dans un plan frontal), une hyperlordose (accentuation de la courbure lombaire), une hypercyphose (déviation de profil du rachis dorsal, entre les omoplates).

  • Orthodontie : ces soins d’orthodontie peuvent créer des contraintes :

    • Maux de tête

    • Vertiges.

    • Troubles visuels

    • Difficultés de concentration

    • Modification de l’humeur
       

L’arrachage des dents de sagesse en anesthésie générale n’est pas recommandé sauf si vraiment nécessaire, car il existe des risques de luxation du « ménisque » de l’articulation de la mâchoire. Ceci entraîne des petits « clics » en mâchant, même si l’ostéopathe aide à rééquilibrer la mâchoire et à repositionner le disque, à condition que celui-ci n’ait pas glissé trop bas dans l’ATM (articulation temporo-mandibulaire).

Comment s'applique le soin ? 

Toujours après diagnostic ostéopathique précis et dans la globalité de la tête aux pieds.

 

Le soin est doux, sans force, sans craquement, diminue les restrictions de mobilité articulaire, viscérale, redonne de la souplesse au système membraneux, et aide le corps à s’autoréguler.

 

Chaque soin est expliqué au patient.

 

Pour les plus jeunes, les parents peuvent assister au soin, même s’il est préférable qu’ils restent dans la salle d’attente.

 

Un bébé aura un de ses parents près de lui.

Je ne fais pas de commentaire qui pourrait inquiéter l’enfant même s’il reçoit un minimum d’explication. Les parents sont ensuite tenus au courant dans le détail du soin reçu par leur enfant. Des manipulations cérébrales indolores, et celles concernant le système émotionnel, sont appliquées pratiquement à chaque soin.

 

Le nombre de soins et l’espace entre chaque soin dépend du problème de chacun. Cela vous sera expliqué.

Ostéopathie et orthodontie

​​

  • Il est souhaitable que le patient reçoive un ou deux soins d’ostéopathie avant le traitement d’orthodontie pour réduire les tensions cérébrales avant la pose de l’appareil orthodontique.

    Bien entendu, le soin ostéopathique est appliqué à l’ensemble du corps et pas seulement au crâne, puisque nous savons que les tensions cérébrales sont également liées aux tensions périphériques réparties à l’ensemble du corps.

    Une action ostéopathique ciblée uniquement sur la sphère crânienne n’a aucun sens dès l’instant que l’on comprend l’approche du fonctionnement du corps dans sa globalité. D’autre part, le patient retourne en orthodontie régulièrement pour améliorer son occlusion.
     

  • Il est donc souhaitable que le patient consulte l’ostéopathe la semaine qui suit la visite chez l’orthodontiste, après la pose de l’appareil, et également après chaque soin orthodontique.
     

Pourquoi ?


L’ostéopathe réduit les tensions en lien avec la correction qu’apporte l’appareil orthodontique. 

 

Il arrive fréquemment que les patients voient leur temps de traitement orthodontique diminué grâce aux soins d’ostéopathie, qui font accélérer la correction de malocclusion.

Ostéopathie pour les hommes et les  femmes

 

Un conseil :

 

N’attendez pas d’être bloqué pour consulter ! 

 

Une ou deux séances par an en prévention sont les bienvenues si vous n’avez  rien à signaler.

 

L’ostéopathe trouvera toujours une tension gênante pour le fonctionnement du  système, sachant que les blocages ne sont pas toujours douloureux. 

 

Quelques exemples de motifs de consultation : 

 

  • Pour les sportifs : suites de chutes, tendinites, traumatismes, entorses ...
     

  • Suites d’accidents (voiture, vélo, moto)
     

  • Perte d’équilibre
     

  • Conséquences du covid :

    • ​Rigidité de la cage thoracique- perte de souplesse vertébrale

    • Essoufflement

    • Douleurs sternales

    • Fatigue générale
       

  • Pulmonaire :

    • Suite de bronchite, asthme, pneumothorax, affections
       

  • Au niveau du système digestif :

    • Constipation

    • Colopathie fonctionnelle
       

  • Suite d’interventions chirurgicales, après cicatrisation
     

  • Suite d’AVC, dès la sortie de l’hôpital
     

  • Préparation aux interventions chirurgicales lourdes, aidant à décongestionner l’ensemble du corps et à corriger les différents blocages pour soulager le patient et optimiser sa récupération après l’intervention.


Un exemple : 

 

Une patiente de 35 ans, en attente de greffe de cœur, présentant un œdème bilatéral des membres inférieurs, ayant perdu plus de 10 kilos en peu de temps, très faible en soins intensifs, a pu regagner sa chambre le lendemain du soin ostéopathique, ses membres inférieurs dégonflés, avec une reprise de l’appétit et une légère amélioration de sa tension artérielle.

Toujours en attente de greffe, elle reçut deux autres soins ostéopathiques dans sa chambre. Son moral s’était amélioré, elle a pu être greffée, et se porte bien aujourd’hui.
 

Malheureusement, l’ostéopathie n’était pas reconnue à cette époque, et aucun médecin n’a cherché à savoir en quoi ont consisté les différents traitements ostéopathiques reçus par la patiente.
 

Aujourd’hui l’ostéopathie étant reconnue, l’ostéopathe peut plus facilement travailler en collaboration avec les médecins.

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